France Dubois

Franco-belge, née en 1976, vit à Bruxelles (Belgique)
 francedubois.eu
 Instagram : @francedubois
Biographie:
Lauréate du Prix Régnier pour la Création 2019, France Dubois pratique la photographie de manière intuitive en autodidacte depuis 11 ans. Avec son regard poétique et de son esthétique affirmée, elle explore les territoires de l’intime à la frontière du visible et de l’invisible.
Entre rêve et   réalité, visible et invisible, la frontière est infime, presque   transparente, comme un fil tendu entre deux univers. Un rien peut faire   basculer les individus sur l’autre rive, dans d’autres mondes.
 En   mettant en images les fluctuations de nos vies, la photographe explore   notre capacité à transcender nos fêlures intimes pour en sortir   grandis, comme un éternel recommencement. La disparition y est plus   douce entourée de lumière, la maladie devient œuvre d’art, la mélancolie   se transforme en pure énergie, moteur de la créativité́.
 La force   de France Dubois réside dans le choix d’une photographie épurée, à   l’esthétisme affirmé. En tissant une histoire universelle à partir de   son regard personnel, presque impudique, ses photographies reflètent nos   vies intimes, avec justesse et poésie.
Dernières expositions:
Ses  projets ont été exposés en Belgique (dont Recylart, Le Prix Médiatine,  et Bozar) et à l’étranger : New York Photo Festival, Kaunas Photo  Festival (Lituanie), Itinéraires des Photographes Voyageurs (Bordeaux –  France), Les Transphotographiques (Lille – France), AIAV (Yamaguchi –  Japon), Photo Art Fair (Londres – Grande Bretagne), Fotofabrik BNL-Bxl  (Berlin – Allemagne).I
Série « Le chant de l’ours » © France Dubois, MP#01, Fonds Régnier pour la Création / VU’
France Dubois pratique une photographie qui parcourt des territoires intimes, avec la nature pour personnage clef dans son processus créatif. Cette série, prise au cœur de la forêt à la tombée de la nuit, rend palpable sa relation symbiotique à la nature dans des lumières crépusculaires et met en scène un récit poétique, composé d’autoportraits où elle vient dialoguer avec son double, une femme âgée, invoquant des dimensions aussi bien telluriques, virtuelles que spirituelles.
